LETTRE OUVERTE À M. BAPTISTE MARREY DE CHEVILLON
Sous le nom de Baptiste Marrey vous pourrez lire une intervention parue dans l’ Yonne Républicaine du 30 mars 2010 Voici ma réponse Cliquez sur le fichier.marrey
LETTRE OUVERTE À M. BAPTISTE MARREY DE CHEVILLON.
Cher Monsieur,
Je tiens à vous remercier d’avoir pris « la plume » pour nous faire connaître votre opinion sur la vie municipale de Chevillon. Voilà dix ans que vous profitez de votre résidence secondaire et je vous souhaite d’en profiter encore longtemps. Je ne prétends pas rivaliser avec vous côté écriture, je ne suis pas de taille. Je suis respectueux de votre œuvre et honoré d’avoir dérangé un Maître.
Comme nous j’en suis sûr vous avez été séduit par l’accueil chaleureux des autorités de ce village. Comme nous, vous avez savouré l’époque de M. Van HOOREN et de sa croisade contre le château. Ses mises en cause et dénonciation au sein de son propre conseil. Vous n’avez sans doute pas eu l’occasion comme moi de profiter des largesses que son poste d’élu lui conférait pour être « mis en garde à vue ». Comme nous, vous n’avez pas eu le privilège de voir ériger devant chez vous des barrages en béton pour nous priver l’accès à notre résidence principale. Enfin comme nous, vous n’avez pas été obligé de demander justice par trois fois. Trois fois, où on vous donne raison, trois fois où on condamne la municipalité de Chevillon. Toutes ces marques d’affections se sont déroulées sous l’ère JVH et Marie Thérèse DOLVECK, confirmées par sa déclaration de mars 2008 au lendemain de son élection ou elle déclarait à l’Yonne républicaine : « qu’elle s’inscrivait dans la continuité du précédent conseil municipal. »
Vous reconnaîtrez que ce n’est pas la personne que je vise mais l’institution. Votre remarque sur les élus me plait beaucoup quand vous dites ; je vous cite : « tous pourris puisque élus » Vous avez vraiment une bonne vision des choses. Un grand homme de lettre comme vous, ne sera pas déçu de lire bientôt dans son journal de quoi ces gens-là sont capables. Forcément votre parti-pris vous aveugle un peu. Un poète comme vous, enfin si je ne me méprend pas sur le vrai Baptiste Marrey, qui a l’habitude d’écrire des lettres aux morts comme aux vivants ne peut qu’être au dessus de ces bassesses.
Quand la justice aura une nouvelle fois fait son œuvre, je crois que tout comme les 183 moutons démarchés par votre voisin M. Simon, (Chômeur-recenseur dixit MTD et nommé par elle-même en conseil municipal) vous vous féliciterez de n’avoir pas signé cette pétition. Du moins je l’espère pour votre notoriété, j’en serais moi même froissé.
Honte à eux d’avoir signé ce torchon, pour faire croire que je m’acharnais sur une pauvre femme alors que ce couple soit disant divorcé, n’est que la piteuse démonstration d’un couple intriguant ensemble et qui ne s’intéresse à la vie communale que dans un but très personnel et lucratif.
Marie Thérèse Dolveck n’est plus rien à Chevillon et c’est tant mieux. Elle va pouvoir répondre de ses actes, à commencer par-devant le tribunal de Sens. Ne croyez pas que cela sera la seule instance qui l’entendra. Tout comme JVH, ils devront rendre des comptes (j’y veillerai) et leurs successeurs devront endosser la responsabilité de leurs actes passés. Cela tant que je n’aurais pas eu réparation de la part de la municipalité de Chevillon et obtenu des excuses pour moi, ma famille et mes amis. Désolé on ne se refait pas.
Alors, Monsieur Baptiste MARREY, même si vous trouvez mes propos agressifs, même si l’insanité de mes attaques vous choque il y a au moins 106 Chevillonnais qui ont une triste opinion du clan Dolveck, sans compter les communes avoisinantes.
Alors, Monsieur Baptiste MARREY, moi qui fais face à mes responsabilités et qui ne cherche pas à me cacher derrière un anonymat facile, j’ai une putain de bonne question à vous poser :
À votre avis avec tout le respect que je dois à votre âge, qui est le plus irresponsable de nous deux, moi qui n’ai fait que me défendre des attaques d’élus qui ont usé du pouvoir que le suffrage leur avait confié pour me faire déménager, ou vous qui soutenez ces délinquants récidivistes prêt à tout pour satisfaire leur ego ?
J’ai été très flatté de votre intervention.
Paul Clairet.